La croyance en
la Trinité est commune aux principales
confessions chrétiennes : catholique,
orthodoxe, protestante et évangélique.
Elle est considérée comme la doctrine principale de la chrétienté.
Pour la théologie chrétienne, les trois personnes, ou hypostases,
qui constituent le Dieu unique sous forme de Trinité sont égales et divines.
Icône de la Trinité, dite La Paternité, de l'école de Novgorod, début du xve siècle, galerie Tretiakov, Moscou.
La doctrine de la Trinité est supposée nous apprendre à connaître Dieu et pourtant, c’est certainement l’une des doctrines les plus incompréhensibles.
Selon une légende médiévale, « Saint Augustin, méditant sur le mystère de la Trinité se promène sur le bord de la mer et rencontre un petit enfant qui, équipé d’un coquillage, lui explique vouloir transvaser toute l’eau de la mer dans un petit trou qu’il a creusé dans le sable de la plage ; au saint qui s’étonne d’une entreprise aussi irréalisable, l’enfant, qui se révèle être un ange, rétorque avant de disparaître : « cela me serait plus facile qu’à toi d’épuiser, avec les seules ressources de ta raison humaine, les profondeurs du mystère de la Trinité. » Lien
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D’après les évêques de France: "L’homme n’est pas capable d’imaginer un Dieu unique qui existe en trois personnes. C’est Dieu qui nous a révélé ce mystère de son amour par l’envoi de son Fils et du Saint-Esprit. (...) La Trinité est Une : nous ne croyons pas en trois dieux, mais en un seul Dieu en trois personnes : le Père, le Fils et l’Esprit Saint. Chacune des trois personnes est Dieu tout entier. Chacune des trois personnes n’existe qu’en union avec les deux autres dans une parfaite relation d’amour." Lien
La doctrine de la Trinité est reconnue être un mystère, elle est d'ailleurs souvent appelée le mystère de la sainte Trinité. Ainsi, les chrétiens ne confessent pas trois dieux, mais un seul Dieu en trois personnes : la Trinité consubstantielle. Les 3 personnes ne partagent pas l’unique divinité mais chacune d’elle est Dieu tout entier.
Isaac Newton qui consacrait une grande partie de son temps à l’étude de la Bible a expliqué pour quelle raison il rejetait la doctrine de la Trinité : “L’homoousion [doctrine selon laquelle le Fils serait consubstantiel au Père] est inintelligible. Depuis le concile de Nicée on n’y a jamais rien compris. Or, ce qui ne peut se comprendre ne relève pas de la croyance.”
Le mot "Trinité" n'existe pas dans la Bible et nulle part il est écrit que Jéhovah Dieu le Tout-Puissant, Jésus-Christ et l'esprit saint sont trois personnes égales en une. Comment en est-on venu à enseigner cette doctrine avec autant de force et de conviction?
● Constantin 1er et le concile de Nicée
►Après avoir remporté la bataille du pont Milvius contre Maxence en 312, avec ce qu'il pense être l’aide de Dieu, Constantin se convertit au christianisme.
►Au
printemps 313,
Constantin (empereur d'Occident) et Licinius (empereur d'Orient) signent l’édit
de Milan,
qui reconnaît la liberté
de religion à
tous les sujets de l’Empire, et qui restitue aux chrétiens tous les biens confisqués. C’est la reconnaissance officielle du christianisme.
Quelques années plus tard, en 324, Constantin déclare la guerre à Licinius. Celui-ci est battu à la bataille d'Andrinople le 3 juillet 324 et assassiné peu après.
Constantin 1er rétablit
l’unité de l’Empire, il devient le seul empereur romain. C’est le début de la dynastie des Constantiniens.
►Après avoir vaincu Licinius, Constantin se rend en Orient où il constate des dissensions au sein du christianisme.
En effet, un conflit a surgi au sein de l’église d’Alexandrie au sujet de la nature du Christ, la question soulevée était de savoir si Jésus avait un commencement ou pas ; s’il avait été créé ou s’il était incréé comme Dieu.
Le débat portait notamment sur le verset de Proverbes 8 :22 où l’on peut lire que la Sagesse (Jésus) a été créée.
Prov 9 :22 : « L'Eternel m'a créée la première de ses œuvres, Avant ses œuvres les plus anciennes. » - Louis Segond
Pour Alexandre, l’évêque d’Alexandrie, le Fils était incréé, tandis que pour Arius, l’un de ses prêtres, il était créé.
Selon Arius,
le Fils, ayant été créé, donc tiré du néant, il ne peut partager pleinement la nature divine du Père, il n’est pas Dieu. Seul le Père est Dieu, le Fils occupant une place intermédiaire entre le
divin et la créature. Les partisans d'Arius professent que Jésus, fils de Dieu, est subordonné à son Créateur, de même que le Saint Esprit qu’ils considèrent comme un relais existant de toute
origine entre Dieu et l'humanité.
Les opposants font, eux, valoir que le Fils est coéternel et consubstantiel au Père, c'est-à-dire « ayant la même essence ».
Ce débat se propage et prend des proportions énormes comme l’explique Eusèbe de Césarée :
« Un grand feu s’allumait, comme d’une petite étincelle ; ayant pris naissance pour ainsi dire au plus haut sommet, dans l’Eglise d’Alexandrie, il se propageait ensuite dans toute l’Egypte, la Lybie et au-delà, en Thébaïde ; il dévorait déjà les autres provinces et villes de sorte qu’on pouvait voir non seulement les chefs des Eglises se quereller sur des mots, mais le peuple se diviser, les uns inclinant vers un parti, les autres vers l’autre. » Vie de Constantin – Eusèbe de Césarée.
►Eusèbe de Césarée dans son ouvrage « La vie de Constantin » nous apprend que l’empereur, avant tout préoccupé de maintenir l’unité de l’Empire, écrit une lettre à Arius et à Alexandre afin de mettre fin à leur querelle. Voici un petit extrait :
« Alors que vous vous disputez les uns les autres sur des broutilles tout à fait infimes, ce grand peuple de Dieu, qui mérite d’être florissant grâce à vos prières et vos pensées, je crois qu’il n’est ni convenable ni permis d’aucune façon qu’il ait des opinions divergentes. »
« Examinons donc ce qui est dit avec une meilleure réflexion et réfléchissons-y avec une plus grande intelligence : est-il sensé que des frères s’opposent à des frères à cause de mesquines et vaines querelles de mots parmi vous et que le bien précieux de l’union soit brisé parmi nous, qui nous disputons pour de pareilles vétilles nullement nécessaires, par une divergence d’opinion impie. C’est là chose vulgaire, et plus en accord avec l’irréflexion des enfants que convenant à l’intelligence d’hommes saints et sensés. »
Lien - Lettre de Constantin à Arius et Alexandre
Empire de Constantin Ier à sa mort en 337 (en violet foncé). En violet clair les territoires dépendants et en violet moyen les reconquêtes en Dacie.
►Craignant un schisme qui mettrait à mal l’Empire, Constantin décide de réunir un concile afin de rétablir la paix religieuse. Il est urgent, à ses yeux, de consolider l’unité de l’Empire.
Le
concile
(du latin « concilium » qui
signifie « rassemblement, assemblée ») est
une assemblée d’évêques réunis pour définir des points de foi ou de discipline. On
parle de concile
œcuménique quand
il réunit des évêques appartenant
à différentes autorités ecclésiastiques de la chrétienté (oikumènè, « totalité de la terre habitée »).
Le concile est la plus haute autorité de l’Eglise.
Le premier concile œcuménique est
le concile de Nicée
(aujourd’hui
Iznik en Turquie) en
325.
Les conciles marquent des tournants importants dans l’histoire de l’Eglise.
Lien - Définitions liées à l'étude des écrits chrétiens
►Les débats conciliaires se
déroulent dans la grande salle du palais impérial, sous la présidence de l'empereur Constantin. Arius défend sa doctrine, soutenu par ses partisans, surtout par Eusèbe de
Nicomédie. Mais, en
face, le parti orthodoxe, dirigé par Marcel d'Ancyre, Eustathe
d'Antioche et le diacre Athanase d'Alexandrie,
qui sera par la suite évêque d'Alexandrie, rejettent la thèse d’Arius et imposent (par majorité et non par démonstration) la conception de
« Jésus Dieu ».
Après plusieurs mois au cours desquels les évêques
ne parviennent pas à se mettre d'accord sur un texte décidant de la nature de la relation du Christ au Père, l'empereur menace les quatorze récalcitrants.
►La doctrine d’Arius, dont le
principal adversaire est Athanase, est condamnée lors du concile, et Arius anathématisé et voué à l'exil, avec deux autres évêques.
Les livres d'Arius sont brûlés et sa voie est appelée l'hérésie
d'Arius, ses
partisans et ceux qui soutiennent la même conception sont considérés, jusqu'à nos jours, des ennemis du christianisme.
(Il existe toutefois quelques groupes chrétiens qui partagent la vision d’Arius et sont non trinitaires).
►La profession de foi établie lors du concile de Nicée en 325, constituant le « symbole de Nicée », déclare que le Fils est de « même substance » que le Père. Le dogme trinitaire se met en place.
« Nous croyons en un seul Dieu, Père
tout-puissant, Créateur de toutes choses visibles et invisibles. Et en un seul Seigneur Jésus-Christ, Fils unique de Dieu, engendré du Père, c'est-à-dire, de la substance du Père. Dieu de Dieu,
lumière de lumière, vrai Dieu de vrai Dieu ; engendré et non fait, consubstantiel au Père ; par qui toutes choses ont été faites au ciel et en la terre. Qui, pour nous autres hommes et pour notre
salut, est descendu des cieux, s'est incarné et s'est fait homme ; a souffert, est ressuscité le troisième jour, est monté aux cieux, et viendra juger les vivants et les morts. Et au
Saint-Esprit.
Ceux qui disent : il y a un temps où il n’était pas : avant de naître, il n’était pas ; il a été tiré du néant ; il est d’une substance (hypostasis), d’une essence (ousia) différente, il a été
créé ; le Fils de Dieu est muable et sujet au changement, l’Église catholique et apostolique les anathématise».
Le premier concile de Constantinople, mur peint dans l'Église de Stavropoleos, Bucarest (Roumanie).
►L’empereur Constantin a choisi de se faire baptiser peu avant sa mort. En effet, le christianisme n’est pas la religion la plus compatible avec le rôle d’un empereur conquérant qui n’hésite pas à éliminer ses ennemis.
Par ailleurs, à l’époque on considérait qu’une fois baptisé, il devenait très difficile de se faire pardonner ses péchés.
Il est intéressant de noter que Constantin se tourne vers Eusèbe de Nicomédie partisan d’Arius, pour se faire baptiser. Cet évêque terminera sa carrière en tant qu’évêque de Constantinople, qui était alors devenue la capitale de l’Empire.
On peut penser que, finalement, Constantin partageait les croyances d’Arius.
Après la mort de Constantin, l’Empire est partagé entre ses trois fils. L’un d’eux, Constantin II (337-340) est mort rapidement, et les deux autres ont fait des choix religieux différents. Si Constant (337-350) qui règne en Occident est fidèle à Nicée, Constance II (337-360) qui règne en Orient, puis dans tout l’Empire, est au contraire un adversaire des décisions doctrinales prises à Nicée. Il ira même jusqu’à convoquer un autre concile à Constantinople en 360 pour annuler la confession de foi de Nicée qui affirmait que le Fils était « consubstantiel » au Père.
● Le Grand Pontife et la triade
capitoline
► La triade capitoline désigne, dans la religion romaine, les trois
divinités Jupiter, Junon et
Minerve qui étaient
honorées au temple de Jupiter Capitolin, sur le Capitole à Rome. Elle célèbre Jupiter, dieu de la foudre, du tonnerre, du ciel et de la lumière, et défenseur de la justice, Junon, reine des dieux
et du ciel, et protectrice des femmes, et Minerve, déesse de la sagesse, des arts et des techniques de la guerre, et protectrice de Rome.
Les cérémonies en l'honneur de la
triade capitoline sont organisées chaque année par le Grand
Pontife ou Pontifex maximus. Son culte se poursuit à Rome jusqu'à la
reconnaissance du christianisme comme religion d'État.
Dans la Rome antique, Pontifex maximus (grand pontife) est le titre donné au grand prêtre à la tête du collège des pontifes. C'est la charge la plus élevée en prestige et en obligations au sein
de la religion publique romaine, et celui-ci a pour résidence la regia, palais des anciens rois de Rome. Ce terme vient du fait que les pontifes étaient chargés – entre autre - de l'entretien
d'un pont sacré, le pont Sublicius.
Constantin Ier et ses successeurs, même baptisés, prennent eux aussi le titre de Pontifex
maximus.
Durant l'hiver 382/383, l'empereur Gratien, parmi
de nombreuses mesures contre les religions anciennes, abandonne ce titre, tandis que son frère Valentinien II ne le porte pas. Le titre n'est alors plus porté pendant des siècles, jusqu'à ce que
le pape Théodore
Ier le reprenne en
642.
Aujourd'hui, le titre Pontifex maximus est réservé au pape — également appelé Souverain
pontife (Summus pontifex) ou Pontife romain
(Pontifex romanus). Le règne d'un pape est appelé pontificat et l'ancien domaine papal était connu sous le nom
d'États pontificaux.
Ainsi, le titre de Pontifex maximus réservé initialement au grand
prêtre qui vénérait la triade
de dieux romains, la
triade capitoline, est
récupéré par Constantin 1er qui se constitue ainsi chef religieux suprême chrétien de Rome.
Le contexte du concile de Nicée est dès le départ clairement influencé par une tendance trinitaire.
Lien – Les triades de dieux à travers les civilisations
● L’empereur Théodose et l’édit de
Thessalonique
Théodose
1er devient empereur d'Orient en 379, il partage le
pouvoir avec Gratien qui
le nomme Auguste et qui règne sur l'Occident. Gratien collabore étroitement avec le pape Damase
Ier et combat fermement le paganisme. Il est le
premier empereur à refuser de porter le titre de pontifex maximus.
En 380, l’empereur Théodose 1er se fait baptiser chrétien. Il se place également en tant qu'autorité religieuse.
En effet, il promulgue l'édit de Thessalonique le 27 février 380 qui impose le christianisme dans l'Empire et la
croyance en une trinité composée de Dieu, son Fils Jésus et le
saint Esprit.
« Édit des empereurs Gratien, Valentinien
II et Théodose Auguste, au peuple de la ville de Constantinople. Nous voulons que tous les peuples que régit la modération de Notre Clémence s'engagent dans cette religion que le divin Pierre
Apôtre a donnée aux Romains - ainsi que l'affirme une tradition qui depuis lui est parvenue jusqu'à maintenant - et qu'il est clair que suivent le pontife Damase et l'évêque d'Alexandrie, Pierre,
homme d'une sainteté apostolique : c'est-à-dire que, en accord avec la discipline apostolique et la doctrine évangélique, nous croyons en
l'unique Divinité du Père et du Fils et du Saint-Esprit, dans une égale Majesté et une pieuse Trinité.
Nous ordonnons que ceux qui suivent cette loi prennent le nom de Chrétiens catholiques et que les autres, que nous jugeons déments et insensés, assument l'infamie de l'hérésie. Leurs assemblées
ne pourront pas recevoir le nom d'églises et ils seront l'objet, d'abord de la vengeance divine, ensuite seront châtiés à notre propre initiative que nous avons adoptée suivant la volonté
céleste.
Donné le troisième jour des calendes de mars à Thessalonique, Gratien Auguste étant consul pour la cinquième fois et Théodose Auguste pour la première fois.»
L’Édit des empereurs Gratien, Valentinien II et Théodose Auguste dit clairement :
« nous croyons en l'unique Divinité du Père et du Fils et du Saint-Esprit, dans une égale Majesté et
une pieuse Trinité. »
● La doctrine de la trinité définitivement admise
avec le concile de Constantinople
En 381 ap J-C, l’empereur Théodose 1er convoque
le Concile de Constantinople.
150 évêques y sont appelés. Aucun d’Occident, y
compris le Pape lui-même, Damase. Les non-nicéens ne sont pas admis à siéger. Le concile se déroule de mai à juillet 381.
Le principal point qui y est acquis est la définition de l’Esprit comme troisième personne de
la Trinité. Le symbole
dit de Nicée du nom du premier concile œcuménique qui l’a adopté en 325 est ainsi complété sur l’Esprit Saint : « par l’Esprit Saint il a pris chair de la Vierge
Marie » et
« L’Esprit Saint qui
est Seigneur et qui donne la vie; il procède du Père ; avec le Père (et le Fils) il reçoit même adoration et même gloire ; il a parlé par les prophètes.»
La confession de foi établie par le concile, constituant le "Symbole de Nicée", est ainsi complétée au concile de Constantinople en 381, pour devenir le "Symbole de
Nicée-Constantinople" ou Credo.
La doctrine de la trinité est alors bien définie et imposée dans tout
l’Empire.
L'empereur Constantin (au centre), avec les évêques du concile de Nicée (325), tenant anachroniquement le texte du « symbole de Nicée-Constantinople » dans sa forme liturgique grecque fondée sur le texte adopté au premier concile de Constantinople (381) - wikipedia
● Le « césaropapisme »
L’empereur affirme son autorité dans le domaine religieux, il inaugure ainsi le « césaropapisme ».
Ce mot définit l'absorption par l'empereur (césar-), souverain temporel, des fonctions spirituelles dévolues au chef de l'Église chrétienne (-pape).
Cette politisation de la religion va entraîner une déviation encore plus importante de l’enseignement de Jésus-Christ.
Rendez-vous compte, la façon même de considérer notre Souverain
suprême de l’univers, Jéhovah Dieu et son Fils Jésus-Christ a été influencée puis imposée par des hommes politiques d’origine païenne avant tout soucieux de maintenir
leur pouvoir et l’unité de l’empire !
Les hommes politiques romains avaient-ils une quelconque autorité spirituelle ? Non, aucune !
Cette immiscion de l'État romain dans l'Église chrétienne se retrouve en contradiction directe avec les paroles de Jésus :
Matthieu 22 :21 : « Rendez donc à l'empereur ce qui est à l'empereur et à Dieu ce qui est à Dieu.»
● Seule
la Bible nous donnera une réponse juste et vraie.
►Il
est extrêmement important de savoir précisément qui est vraiment Dieu et qui est Jésus-Christ !
En effet, de cette connaissance dépend notre vie éternelle.
Jean 17 :3 : « Or, la vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ. »
►Jésus-Christ
avait déclaré:
Jean 4:23 : « Mais l'heure vient, et elle est déjà là, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité. En effet, ce sont là les adorateurs que recherche le Père. »
Nous ne pouvons adorer Dieu qu'avec la Vérité.
Il nous faut donc vérifier, scruter ce que disent les Saintes-Écritures concernant le dogme de la Trinité car nous ne pouvons pas nous permettre de nous faire une fausse représentation de
Dieu.
Accéder à la véritable connaissance de Dieu n’est pas un mystère, n’est pas incompréhensible, n’est pas compliqué. Notre Créateur est un Dieu logique.
Ainsi que le disait Isaac Newton, notre raison doit nous permettre de comprendre qui est réellement Dieu, de manière évidente et en toute sincérité, pour nous approcher de Lui.
Olivier
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Sauf indication, les versets cités renvoient à la traduction Segond 21